mercredi 25 juillet 2007

Visage de deux faces

Sniper sur l’épaule, cible visé, tuer les victimes est devenu débile
Visage de deux faces,
Le jour face de paix, la nuit face de danger
J’ai passé ma vie à la poursuite des cons
Où je m’en vais-je laisse les traces du sang
Les flammes du mal m’entouraient
Les flics ne me lâchent jamais
Mon job est de noircir la vie de ceux qui nous emmerdent
Je veux qu’ils goutent la haine qui nous ont goutée
Ça y est, les temps sont changés,
J’ai raté ma chance d’être un bon mec, j’ai devenu mauvais
J’ai pris la route du danger
Je me suis inscris au destin des autres
J’entends les échos de leur mort avant qu’elle se montre
J’ai déserté les terrains de feu à peine
A cause du fou système qui règne
J’ai mis tout type d’arme dans mes mains
Au contraire des autres gamins
Eux jouent avec les billes
Quant à moi, le M16 et le revolver
Je ne sais où aller ou quoi faire
J’ai signé un contrat avec le diable
J’ai mis mes nouvelles cartes sur table
Je me mets au boulot
D’abord prendre les photos
Puis je m’en charge de tactique
Comment accomplir la mission sans risque ?
Je m’en isole dans ma chambre
Là où je vois que leurs ombres
Je mets mon plan de A jusqu’à Z
En attendant je me prépare pour la fête
A l’heure précise de pars au combat
Je monte l’escalier de l’immeuble, direction sur le toit
Je prends une place pour un champ de vision le plus efficace
Je m’en trouve face à face
Pré, exactement à l’apparition de ma victime
Malgré le cœur brisé, jamais j’ai raté mon crime
C’était comme le film de Sean Connery
Mais le mien a duré toue ma vie
Mon équipier était la lune
Elle tien à garantir l’éclairage, et moi que m’en charge de l’orage
Pourquoi ne pas tourner la page ?
Avoir un seul visage et non celui de deux faces ?
Pourquoi toujours voir en noir ?
Pourquoi ne pas oublier la première bale ?
Mon sniper mon troisième œil ?
La vengeance mon sixième sens ?
La mort mon huitième art ?


samedi 21 juillet 2007

Ma Bio Philosophie de la vie

Extravagant comme titre, n’est ce pas ? Pourtant, c’est tout à fait simple comme idée.
Pour féliciter nos enfants leurs succès, on leur réalise leur voeux. Pour rendre hommage à une célébrité on lui organise une cérémonie. Pour exprimer notre amour à notre âme sœur on lui écrit une lettre mémorable par son caractère pittoresque et affiné. Pour rendre honneur à notre patrie on se sacrifie comme étant des martyres et si jamais on craint la mort on doit retrouver notre vraie place au sein de la société de façon à se réaliser en personne, par l’épanouissement intégral de toutes nos facultés, par la satisfaction de nos besoins culturelles et spirituels. Voyons si on pense à notre sois. La question qui s’impose comment peut-on procéder afin de satisfaire soi même? Est-ce la fortune ou l’amour ? Est-ce le bonheur ?
En fait j’ai essayé de trouver une réponse. Mais selon quel théorie on peut définir, d’emblés, notre existence pour comprendre notre soi ? J’ai fini par croire que si on arrive à comprendre le processus de cette énigme qui est la « vie » ça peut éclaircir notre vision et par suite améliorer notre conscience. Et là, je demeure persuadé que seule les sciences de la vie qui son les clefs. En effet, si on déchiffre le fonctionnement moléculaire des cellule qui nous appartiennent, le génome, l’ADN, la vie sub-microscopique, l’anatomie et la physiologie, si encore on devient de plus en plus au fait de l’intimité scientifique de la nature ou de cette science qui est la biologie (nommée par Jean-Baptiste de Monet de Lamark en 1815) ; on découvre évidemment un espace discret et silencieux dont on est déjà impliqué mais on n’en a aucune conscience de la façon. Et le fait de pénétrer dans les coulisses de nos organismes, on sera certainement fier de nos sois. Là je crois que rien que la fierté ne peut nous nous satisfaire.

vendredi 20 juillet 2007

Je veux...


Je veux voler comme un oiseau, faire le tour du monde mais je n’ai pas d’ailles.
Je veux accumuler une fortune, gagner de l’argent mais je suis encore jeune.
Je veux me comparer pour Louis 14 mais je suis parmi la génération du 21éme siècle.
Je veux être un diplomate, mais j’ai rien à voir à propos de la politique.
Je veux être aimé mais c’est difficile d’aimer.
Je veux être savant, savoir tout mais il n’y a pas l’enseignant parfait.
Je veux être l’idéal, l’exemple mais je manque de qualités.
Je veux marcher une pas sur la terre l’autre dans l’air mais c’est de la science-fiction.
Je veux faire la fête mais avec qui?
Je veux acquérir la paix mais seul dieu sait quand le jour d’éternité.
Je veux tellement de choses que ni l’encre ni les papiers sont suffisants pour les noter.

Vision cauchemardesque

J’écris avec l’encre de mes larmes
Mon stylo mouillé de sang est mon arme
J’ai l’impression de finir sous une pierre tombale
Lâche je reçois des coups de poing des bals
Je pars au combat avec les mots comme un soldat de guerre
Je ne cesse pas de souffrir dés mon premier pas sur cette terre
Je fais face aux soucis, j’ai grandi là mais tout le monde est parti
Je lutte contre le son des bondis, je risque ma vie pour aller au paradis
C’est le moment de prendre soin de notre thème
C’est le moment de révolter contre le ‘système ‘
C’est ce jour là où on s’explose
On se réunit tous pour rendre notre vie rose.


Enfermé dans mon entourage
J’entends les tumultes de l’orage
Seul sous la pluie
Je vois le sang qui s'écoule qui s’enfuit
Je représente l’art de rimes
Un jeu de feu un jeu de mines
Je parcours un chemin plein d’obstacles plein d’épines
Je voix au fond de ces horizons un trait d’union
Un raccourcis q’un jour nous rassemble au paradis
Je fais la prière au dieu pour nos frères, les martyres, les jeteurs des pierres
Croire au dieu me donne la force
Force obscure, malgré le cœur brisé
Je garde espoir à trouver une fin à cette histoire
Vision cauchemardesque, je me sens mal ou presque
Tombé dans l’axe du mal, la souffrance est devenue radicale
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