mardi 21 août 2007

mots de sueur ...

" Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité"

mardi 14 août 2007

L'autre de moi ....(1)

Je sais pas ce qu'il me prends..ça fait longtemps que j'ai pas pris le stylo à la main pour écrire, pour se laisser faire avec l'autre de moi. Celui que j'ai déjà cru qu'il a pris une sieste éternelle. Mais le revoilà, il se renaît de nouveau pour éveiller en moi des fantasmes déjà abandonnés, pour écouler de nouveau le sang dans mes veines d'inspiration, pour rejoindre le monde obscur que j'ai quitté. Il est là présent de nouveau; et sa présence me fait peur. Peur qu'elle soit sempiternelle où même éphémère, Je l'avoue, c'est quelqu'un qui est plus robuste que moi et je me trouvais lâche devant lui. Il m'efforce à parcourir le long horizon, pour déserter les dunes de l'esprit et me laisse mène une guerre sans arme. il me surprenait à tout moment, il vient de là où jamais on l'attendait....

Le temps...une notion abstraite !!

Einstein a inventé la relativité. Mais le temps est relatif depuis
toujours. Tout le monde sait ça. N’importe
quel enfant sait que le temps ralentit lorsqu’il est en cours et
qu’il s’accélère quand il passe un après-midi d’été à jouer avec ses
amis.La perception du temps n’est évidemment pas un sujet auquel on
pense tous les jours. Quel travailleur veut penser à ses journées de
boulot interminables et ses si courtes soirées. Pourquoi s’interroger
sur ces week-ends qui disparaissent derrière un battement de cils ?
En effet, le temps est une entité étrange. Nous avons constamment
affaire à lui, mais nous avons beaucoup de difficulté à dire ce qu’il est.
à ce propos, beaucoup de questions qui s'imposent!
Comment le passé advient-il à nos consciences ? A travers nos
souvenirs? Qu’en est-il du futur ? Peut-il avoir un statut
différent de celui du passé ?
qu’est-ce qu’un instant qui passe au regard des infinités de la durée ?

dimanche 12 août 2007

Derniers baisers...


Quand vient la fin de l'ete sur la plage
Il faut alors se quitter peut-iªtre pour toujours
Oublier cette plage et nos baisers
Quand vient la fin de l'ete sur la plage
L'amour va se terminer comme il a commence
Doucement sur la plage par un baiser

Le soleil est plus pale mais nos deux corps sont bronzes
Crois-tu qu'apri¨s un long hiver notre amour aura change ?
Quand vient la fin de l'ete sur la plage
Il faut alors se quitter les vacances ont dure
Lorsque vient septembre et nos baisers

Quand vient la fin de l'ete sur la plage
Il faut alors se quitter peut-iªtre pour toujours
Oublier cette plage et nos baisers, et nos baisers
Et nos baisers !

Les ailes du désir..

Le désir comme une soif d'apprendre...
De frôler du bout de la langue les écritures secrètes des mythes,
de tremper la plume à l'encre de nos veines et y déceler les signes chers
à Platon, lire dans chaque feu, dans chaque caillou, dans
chaque poussière, l'or de la sagesse créatrice en fantaisie autorisée,,,
C'est brûler du feu des possibles et brandir envers et contre tout
le droit et à être en marge du bien pensant, du bien seyant, du bien comme il faut...

jeudi 9 août 2007

A mon père


Mon Père...



Il fait mon admiration...

J'ai commencé à apprendre la dure loi...

La nécessité de l'effort et l'oubli de soi...

J'ai commencé à acquérir le sens des responsabilités très jeune...

J'ai commencé à apprendre la fierté personnelle, la récompense de l'effort...

J'ai appris à connaître mon père, à apprécier son courage et son énergie.

Je devinais son inquiétude devant l'incertitude du lendemain.

Il éveille mon coeur...

j'ai appris à voir la vie à travers ses yeux...

je respire encore graçe à son câlin préféré d'enfance,

qui me transportait sur un nuage, et que doucement mes yeux se fermaient...

Larme

Aimer, aimer est un verbe
Aimer est un mot qui agit
Je respire sans peur
Une douce impulsion
Me secoue me rend plus légèr
Je respire sans peur


Des larmes sur le feu
Je respire sans peur

Neuf nuits d'affaires
Les fleurs noires bourgeonnent
Je respire sans peur
Les fleurs noires bourgeonnent
Je respire sans peur

Des larmes sur le feu
Je respire sans peur

Mon oeil est de l'eau
Le plus fidèle des miroirs
Je respire sans peur
Des larmes sur le feu d'une confession
Je respire sans peur
Le plus fidèle des miroirs
Je respire sans peur

Des larmes sur le feu
Je respire sans peur

Tu te bats dans le noir
Tu te bats dans le noir